La chancellerie reçoit le mandat
de dresser tous les cinq ans la liste de tous les recès
de la Diète. Le chancelier est autorisé à les
publier. L’idée que l’on se fait généralement
de l’information à cette époque n’est pas
celle qui prévaut aujourd'hui : le tirage est strictement limité
(à 67 exemplaires) et exclusivement destiné aux gouvernements
cantonaux qui doivent veiller soigneusement à ce que rien ne
soit porté à la connaissance du public. Cet état
d’esprit explique également le côté «
entreprise familiale » du gouvernement fédéral
d’alors (voir 1819, 1823,
1825 et 1830).
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| Pour la première fois, une troisième
personne (sans compter l’archiviste) fait son entrée
à la chancellerie qui emploie parfois aussi des auxiliaires
ou des employés administratifs.
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Josef
Franz Karl AmRhyn, fils du président en exercice de la
Diète et avoyer de Lucerne Joseph Karl AmRhyn, succède
au secrétaire
d’État de la Confédération démissionnaire
Fridolin von Hauser.
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![Extrait du procès-verbal de la Diète](../../../d/bk/rundgang/images/infos/1825_tagsatzungsprotokoll.jpg) |
Heinrich
Mousson, le fils du chancelier Jean Marc Samuel Isaac Mousson, est embauché à la chancellerie sous
les ordres de son père.
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Genève, le Tessin, Vaud, le Valais
et Neuchâtel demandent que les recès
soient traduits en français (voir aussi 1835).
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